Pendant une semaine, du 25 février au 4 mars 2017, les festivités battront leur plein autour d’un thème « Formation et métiers du cinéma et de audiovisuel ». Il y aura aussi des projections cinématographiques. 105 films d’une vingtaine de pays seront offerts aux amateurs des images animées. 17 films d’écoles, 20 films longs-métrages, 21 séries télévisuelles, 21 documentaires et 26 courts-métrages sont en compétition dans les différentes catégories de la compétition officielle.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le président du comité d’organisation, Stanislas Méda, a invité les Ouagalais et les Burkinabè à prendre d’assaut les salles de cinéma, aménagées à l’occasion pour faire honneur aux œuvres des cinéastes. « C’est une occasion pour nous de redorer le blason de notre cinéma », a ajouté le maire de la ville de Ouagadougou, Armand Béouindé. « Le cinéma africain doit s’adapter aux nouvelles technologies, se professionnaliser davantage », a ajouté pour sa part, le ministre de la culture burkinabè, Tahirou Barry.
Rappelant que la Côte d’Ivoire a apporté un soutien financier de 50 millions de FCFA et mis à disposition la star Alpha Blondy…Annoncé en grande pompe, Alpha Blondy est effectivement monté sur le podium du stade municipal, pour marquer en lumière et en sonorités le début effectif de ce rendez-vous devenu désormais incontournable sur le continent africain. Le cinéma est à l’honneur, c’est une bonne chose. Paula