Encore & Encore

Pour comprendre l histoire des voitures chinoises

Les wagons ou voitures ont été acquis auprès de la Cie Csr de la Chine

L activité voyageur camrail suivant la concession est à la charge de la #état. Les décisions de investissement lui revient avec les appui technique de #bollore.
En 2013 les Csr chinois livre 20 voitures 2eme classe 4 1eres 2 bar resto 10 voitures lits et 2 fourgon
Cet achat était en vu de remplacer les voitures couchettes déjà vétustes entre yde etNdere
Quelques mois plutôt Bollore arrive au Cameroun et improvise. Il annonce la mise en marche d’un train ki doit faire 3h entre yde et dla

Après suppression des arrêts ce train ne fait au plut tôt que 3h45

Après essais on se rend compte ces voitures ont des défaillances au niveau du freinage

Les voitures sont ka même réceptionné et réparties entre les 2 train la couchette et l intercity, ils trouvent comme solution de atteler les anciennes voitures à la queue

Les voitures CSR sont numérotés 130.. 131.. 132.. 133.. 134.. et 135.. par ex 1323 la 1ere classe et les anciennes 98.. 67..68.. 55..58.. etc…

Quelques mois après la couchette à destination de ndere supposer s arrêter à ngaoundal traverse la gare à plus de 5km il refoule et revient s’arrêter en gare. Il conducteur lyhinack est ensuite sanctionné
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Je l’ai retranscris fidèlement, un témoignage tendant encore à confirmer la thèse selon laquelle le Conducteur n’est qu’une pauvre Victime dans cet affaire.

L’état cette fois ne nous pigeonnera pas, je suis prêt à faire partie de l’équipe des experts.

L’#Etat es Clairement mis en cause par ce cheminot

Le bilan humain de l’accident est sous-évalué. C’est ce que les habitants de la localité où le drame ayant officiellement fait 79 morts et près de 600 blessés, a eu lieu. La plupart des victimes se trouvaient dans les dernières voitures, celles qui ont basculé dans un ravin quelques centaines de mètres avant la gare d’Eseka, (Source RFI). Selon les mêmes sources, le jour du drame, les habitants d’Eseka s’étaient rendus sur les lieux du sinistre pour porter assistance aux passagers. Ces populations assurent qu’avant même l’arrivée des secours, une cinquantaine de corps avaient déjà été transportée à la morgue d’Eseka. Comme la salle contenant les corps était pleine, d’autres corps devaient être déposés dans  une deuxième salle ouverte à cet effet.

« Il est interdit de filmer et d’approcher de ce site », tonnent des militaires, arme à la main.

La population, visiblement en colère, n’apprécie pas l’intimidation. « Au début, quand nous portions secours à ces blessés, où étaient-ils ?, lance une jeune femme à haute voix pour se faire entendre du militaire. Ce sont les jeunes garçons de ce village qui ont sauvé les blessés et transporté des morts. Les militaires, policiers et gendarmes ne sont arrivés que dans la soirée. » Vous vous rendez compte, dans la soirée… A charge est de reconnaître que si des gens ont eu la vie sauve, c’est grâce à la population..

Neuf jours après le drame, ces habitants regrettent que les recherches soient terminées, selon eux, des victimes se trouvent toujours sous les wagons renversés, car des odeurs nauséabondes continuent de se dégager du site. Mais pour le chef du génie militaire, ce n’est pas possible, car les wagons auraient  été soulevés par des engins, dans un premier temps, pour permettre des fouilles approfondies puis reposés par la suite. A la question pourquoi ces wagons se trouvent toujours actuellement au fond du ravin, il répond avoir voulu préserver le site pour ne pas gêner l’enquête en cours, toujours selon RFI.

A ces constats faits sur place par la population, s’ajoutent plusieurs dizaines  de personnes qui ne sont pas retrouvées jusque-là. Plus d’une semaine après la catastrophe ferroviaire, certaines familles sont toujours sans nouvelles de leurs proches. C’est le cas de Joseph qui s’est rendu à Eséka juste après l’accident. Il soutient avoir consulté en vain la liste des blessés. D’autres recherches dans les différents hôpitaux de Yaoundé et de Douala n’ont conduit à aucun résultat positif. Et ce Camerounais n’est manifestement pas le seul dans le cas. C’est au vu de ces éléments que les populations d’Eséka estiment que le nombre de morts déclaré est bien en dessous de la réalité.

Il est souhaitable que la commission d’enquêtes judiciaires, créée par le gouvernement, parvienne à faire la lumière  sur le bilan réel de ce drame d’ici fin novembre.  Aussi, les recherches doivent –elles être intensifiées aux fins de fixer ces nombreuses familles qui sont encore sans nouvelles de leurs proches, personnellement je crois que oui !!! Car personnellement je recherche une personne, mais hormis la liste des personnes transférées à l’hôpital Laquintinie de Douala, la liste des autres accidentés sur Yaoundé est impossible à avoir !! Comme vous pouvez le constater c’est d’une telle évidence que d’autres mots sont inutiles !

Par contre ce que je trouve inutile, c’est ce battage de traditions à la con, des marabouts qui viennent soit disant désenvouter l’endroit de l’accident, le purifier… Comment peut-on croire à de telles sornettes au 21 ème siècle ? (Eseka: le rituel de purification des lieux de l’accident a commencé, voir les images) Sachant qu’ils avaient fait la même chose en 2012, suite à l’accident de train du 21 octobre, le même jour, exactement sur la même ligne et cela n’a pas empêché un nouveau train de dérailler ! Ce sont vraiment ces superstitions nulles qui m’empêcheront jamais les choses d’arriver.. De plus et à mon sens on ne purifie pas le sang par le sang, le sang des défunts suffit amplement !!!! Paix à leurs âmes …Paula