Bonjour lectrices & lecteurs du monde, alors comme je vous l’ai dit hier, ce samedi je vais terminer cet article en expliquant la défaite SonghaÏ à la bataille de Tondibi et la fin de l’Empire du Mali.
La défaite de Tondibi qui voit s’opposer près de 40 000 Soudanais à moins d’une dizaine de milliers de Marocains s’explique-t-elle par un effet de sidération devant les armes à feu, comme on a pu le dire pour les Amérindiens devant les arquebuses des Conquistadors ? Il est cependant établi maintenant que la défaite des Amérindiens ne doit pas tellement à la disproportion technique qu’à des dissensions internes.
Les guerriers mexicas ne sont pas longtemps impressionnés par les mousquets des Hispaniques et, au contraire, ils jettent les canons espagnols capturés à la suite de la Noche Triste dans le fond de la lagune de Tenochtitlan et ne cherchent pas à s’en servir contre les envahisseurs. S’il n’y a pas eu sidération des Amérindiens devant la puissance de feu des Espagnols, y en a t-il eu des Soudanais devant le feu marocain ? La bataille de Tondibi qui dure toute la journée montre que non. Les guerriers songhaïs du Kurmina jettent les mousquets marocains au fond du fleuve Niger après la bataille de Karabara, geste à rapprocher de celui des guerriers mexicas.
Par ailleurs, et contrairement aux Amérindiens, les Songhaïs connaissent les fusils, ils ont déjà combattu les Marocains autour des salines du Nord. Comme les Amérindiens ce n’est pas qu’ils ne savent pas se servir des armes à feu, c’est qu’ils ne le veulent pas, considérant cette arme de trait comme l’arme des lâches. Un acte que les guerriers songhaïs rééditent quand, après la capture de l’Askia Mohammed à Gao, ils tendent une embuscade à un groupe de combattants marocains établis en protection autour de Tombouctou.
L’utilisation par les Saadiens de l’artillerie, arme de prédilection des forces ottomanes dans lesquelles Abd al-Malik et Ahmed el-Mansur ont servi, et qui permet de déjouer la ruse songhaï de la charge des zébus en furie, puis de retourner le bétail contre l’infanterie des askias, paraît plus convaincante pour comprendre la défaite. Contrairement aux armes légères, les canons n’ont alors quasiment jamais été utilisés dans une bataille en Afrique de l’Ouest avant Tondibi. Plus qu’une victoire des mousquets, c’est une victoire des canons. Un débat historiographique s’est engagé pour déterminer la valeur de cette artillerie : certains jugent que les pièces, transportées deux à deux sur les dromadaires devaient être de faible calibre et donc peu efficaces, et qu’achetées auprès des souverains européens elles devaient n’être que des pièces de rebut. Les auteurs anglo-saxons révisent la valeur de l’armement à la hausse, même si les auteurs mettent aussi en avant la grande fragilité des armes et leur usage réservé à des professionnels aguerris.
Il n’y a donc pas eu sidération des Soudanais devant les armes à feu mais devant la puissance déployée par l’artillerie marocaine, qui rend caduques toutes les techniques habituelles de guerre : submersion par le nombre, charge d’une cavalerie cuirassée et charge des zébus du bât. L’armée songhaï ne s’effondre pas mais elle est dépassée techniquement et tactiquement par les moyens mis en œuvre pour la combattre. Cependant, l’organisation militaire songhaï est prise en défaut avant et pendant la bataille, et la puissance de feu de l’armée saadienne n’explique pas à elle seule la défaite de Tondibi.
La défaite songhaï s’explique-t-elle par une mobilisation tardive et incomplète ?
Les historiens africains et les africanistes sur plusieurs générations (Boubou Hama, Joseph Ki-Zerbo, Michel Abitbol ou André Salifou) ont jugé sévèrement l’état d’impréparation supposée de l’Empire songhaï face à la force d’invasion. Indiscutablement, nul ne pouvait ignorer dans le cercle dirigeant songhaï que les relations avec les sultans marocains wattasides puis saadiens s’étaient irrémédiablement dégradées, que les sultans marocains cherchaient à contrôler la production du sel pour avoir barre sur la politique soudanaise et que les tensions s’étaient aggravées avec l’arrivée au pouvoir des Saadiens.
On s’étonne donc qu’une force armée ait pu descendre du Sahara sans être interceptée avant son arrivée à 50 kilomètres de Gao, capitale de l’Empire.
Les historiens contemporains sont divisés sur les explications à donner pour comprendre la lenteur de la réaction songhaï. Joseph Ki-Zerbo émet l’hypothèse (1973, 1978, 1994) que l’Aski Ishaq II, anticipant une invasion de son empire sur la partie ouest du Kurmina et du Macina, abritant les villes de Djenné et de Tombouctou par exemple, avait posté son armée principale pour attendre les Marocains à Kaba, entre Mopti et Tombouctou, en aval du Macina. Soit 400 kilomètres trop à l’ouest. Une hypothèse qui fait se trouver les principaux corps d’armées en plein territoire séditieux depuis 1588, et qui postule une capacité de mobilisation et de déplacement de l’armée songhaï supérieure à ce qu’elle montrera par la suite. On note également que le sultan Ishaq II rechignera le plus longtemps possible à passer sur la rive Gourma du fleuve Niger, or c’est précisément là que se trouve Kaba. Une possible confusion entre Kabara, l’avant-port de Tombouctou, Karabara, entre Tondibi et Tombouctou, où ont lieu les premiers affrontements est possible. Bernard Nantet rappelle que la pression touarègue s’était accentuée sur l’Empire songhaï, particulièrement celle des Igoghas sur Tombouctou, gênant par là les communications entre les divers corps d’armée de l’askia.
Edward William Bovill suppose même que les confédérations touarègues ennemies assassinèrent les messagers songhaï porteurs des ordres de mobilisation.
Sans avoir à supputer de l’assassinat des messagers du Songhaï, on peut raisonnablement imaginer que les souverains des royaumes non islamisés comme les royaumes mossi qui servaient tour-à-tour de réserve d’esclaves et de contingents n’ont pas été les plus rapides à répondre à l’ordre de mobilisation.
L’assassinat d’Ishaq II en pays gourma montre combien la région entre les pays mossi et la falaise du Bandiagara était instable et rebelle.
La défaite songhaï s’explique-t-elle par les dissensions au sein des élites et le délitement de la société songhaï ?
Si le Songhaï a été gêné dans sa mobilisation par le relâchement de son emprise sur ses vassaux et ses alliés traditionnels, par le début de la crise économique et sanitaire, et par la guerre civile précédente, les dissensions politiques au sein des élites songhaïs expliquent aussi la défaite de Tondibi, et celles qui suivent. Elles éclatent au grand jour avant même la bataille de Tondibi, et se prolongent tout au long des combats, opposant d’une part les ministres de l’askia, et d’autre part les princes qui prennent systématiquement un avis contraire à celui des ministres. Les dissensions éclatent d’abord après la découverte que l’armée marocaine se situait entre Tombouctou et Gao: tandis que les ministres d’Ishaq II prônaient une politique de prudence, demandant l’évacuation de Gao et le passage de l’administration et du trésor sur la rive du Gourma, les princes du sang militaient au contraire pour une politique agressive.
Pendant la bataille, les mêmes lignes de fracture au sein de l’élite songhaï apparaissent : quand les salves de l’artillerie marocaine rendent caduques toutes les stratégies élaborées lors du conseil de guerre, les principaux dignitaires demandent à l’askia de quitter le champ de bataille. Les princes crient à la lâcheté et font au contraire assaut de charges audacieuses contre les rangs marocains pour souligner l’écart de valeur entre eux d’une part et l’askia et sa cour d’autre part. La tradition orale songhaï garde d’ailleurs une très mauvaise image des derniers askias, particulièrement d’Ishaq II, accusé d’avoir fui nuitamment Gao en emportant avec lui les insignes de la royauté, qu’il aurait ensuite rendues aux premières sollicitations des princes venus le rattraper. De l’Askia Nouhou (1592-1595) ensuite, qui aurait tout bonnement démissionné devant l’ampleur de la tâche. Si paradoxalement la tradition semble avoir pris le parti des princes frondeurs, elle donne néanmoins l’image d’une trahison en cascade des élites songhaïs, désunies, fébriles et déconnectées des enjeux historiques et des défis que l’invasion marocaine représentait.
Les dissensions politiques au sein des élites songhaïs sont loin d’avoir été une spécificité de l’Empire, même si elles apparaissent comme un des problèmes récurrents de Gao.
Au Kanem-Bornou, les règles successorales floues entraînèrent des conflits tout au long du 16ème siècle, le roi May Idriss (1571-1603), exact contemporain d’Ahmed IV el-Mansour et d’Ishaq II, s’imposa par la force. Le Maroc saadien lui-même sortait des turbulences politiques qui avaient entraîné la chute des Wattasides, et se préparait à entrer dans une guerre civile pour l’héritage d’Ahmed IV, les exilés politiques revenaient régulièrement de leur exil portugais pour renverser el-Mansour. Sans parler évidemment des troubles successoraux en Europe, au sein de la famille régnante des Tudors par exemple ou de la fragmentation inexorable de l’Empire de Philippe II avec la révolte des Gueux des Provinces-Unies. Aucun de ces États n’a été si brutalement abattu comme le Songhaï l’a été. C’est que la situation du Songhaï dépasse les simples turbulences politiques : c’est l’ensemble de la société songhaï qui croit perdre ses valeurs.
Les deux Tarikhs de Tombouctou relatent à l’envie la dépravation de la cour des askias, énumérant les cas d’adultères, voire d’incestes entre princes et princesses. La guerre civile de 1588 d’ailleurs commence par l’assassinat par le Balama Sadiki, prince du sang, frère de l’askia précédent, du gouverneur de Tombouctou nommé par l’askia. Dans la même veine, le sultan Ahmed IV est informé de la situation calamiteuse de l’Empire par un transfuge songhaï, Ould Krinfil, ancien gouverneur de Taoudéni, un des postes clés de l’économie soudanaise qui n’hésite pas à trahir pour se venger d’un manque d’avancement dans sa carrière.
« L’expédition du Soudan » est bien documentée aussi bien par les sources marocaines qui puisent leurs renseignements des documents de la chancellerie saadienne, que par les sources soudanaises soit écrites par des contemporains soit orales songhaïs, parfois peut-être supportées par des écrits que les griots appellent aussi « Tarikhs ».
Le seul récit d’un témoin direct, récit d’un « anonyme espagnol » est fortement suspecté d’être une réécriture par Juan de Medina, ambassadeur de Philippe II auprès des sultans de Marrakech. Derrière cette abondance de sources écrites se cache cependant une grande paresse des historiens contemporains francophones qui ont peu renouvelé un fonds largement disponible en français depuis la fin du 19ème siècle.
La fréquence avec laquelle on retrouve dans les ouvrages scientifiques les informations des Tarikhs et des articles de Castries et de Boisboissel est révélatrice.
Les sources arabes marocaines. Les historiens arabes ont eu accès à la chancellerie saadienne et un grand nombre d’œuvres traduites essentiellement par Houdas et Delafosse (fin du 19ème siècle et début du 20ème siècle) est disponible.
La liste qui suit est bien évidemment non exhaustive mais concerne des historiens marocains du siècle, contemporains soit écrivant moins d’un siècle après.
– Al-Fishtali (Abd al-Aziz), Manahil al-safa fi ma’athir mawalina al-shurafa, rédigé fin du 16ème siècle-début du 17ème siècle à la cour d’Ahmed IV el-Mansour (Marrakech) par celui qui fut un des principaux hauts fonctionnaires du sultan saadien, édité en arabe par Abd al-Karim Kurayyim, Rabat, 1973, certains textes de l’historien marocain sont traduits en anglais par Nabil Matar, Europe Through Arab Eyes (1578-1727), 2008, Columbia University, État de New York, 352 pages, dont page 139 une description de l’attaque anglaise sur Cadix (ISBN 978-0231141949).
– El-Ifrabu (Mohammed), Histoire de la dynastie saadienne au Maroc (1511-1670), Marrakech, 18ème siècle, traduit par Houdas, Paris, 1888-1889, aux éditions Ernest Leroux, deux volumes, un 1er volume de texte en arabe (315 pages) et un 2e volume de traduction de notes et d’appareil critique (560 pages), réédité en 1973 par l’École nationale des langues orientales vivantes (ISSN 1704-7703).
– Al-Zayyân (Abu al-Oâsim), Histoire de la dynastie sa’dide, texte traduit par Le Tourneau (1962), présenté, reproduit et annoté par Mougin et Hamburger (1977) dans la Revue de l’Occident musulman et de la Méditerranée, Paris, Volume 23, no 1, pages 7 à 109. Al-Zayyân présente en 26 pages la dynastie saadienne dont 10 sont consacrées à El-Mansour. Sur les dix pages, 6 sont consacrées à l’expédition du Soudan, selon, dit l’auteur, des sources de la chancellerie saadienne. Texte original disponible à l’université de Rabat, Maroc.
Les sources arabes soudanaises. Deux documents soudanais écrits par des contemporains sont particulièrement utiles pour permettre aux historiens de comprendre le sens donné à la bataille de Tondibi en particulier, et à la conquête marocaine en général. Il s’agit de Mohammed Kâti et d’un de ses petits-fils, probablement Ithun Kâti, Tarikh el-Fettash, fin du 16ème siècle et milieu du 17ème siècle (Tombouctou). Mohammed Kâti, mort en 1593, est un contemporain des événements mais lui et son petit-fils rapportent (pour la bataille de Tondibi et les détails de la campagne marocaine en dehors de Tombouctou) les faits d’après les dires de tierces personnes, ayant elles-mêmes rapporté les faits d’après les dires de témoins et d’acteurs des faits. Les informations sont donc fragmentaires. Il s’agit également au milieu du 17ème siècle d’Abderrahmane Sa’adi, Tarikh es-Sudan (Tombouctou), qui relate l’histoire du Mali et du Songhaï et consacre le dernier quart de sa chronique à la chute des askias et à la guerre civile qui s’ensuivit.
Ces Tarikhs sont des manuscrits, c’est-à-dire des livres copiés à la main. Il en existe plusieurs exemplaires (4 pour le Tarikh el-fettach notés manuscrit a, b, c et d) qui sont parfois fragmentaires et parfois contradictoires. Les copistes n’ayant pas toujours eu grand soin dans la réalisation de la copie, parfois corrigeant ce qu’ils estimaient être une erreur. C’est le cas pour les dates par exemple qui sont allègrement corrigées par les copistes. D’où, à l’incertitude initiale sur la véracité de faits rapportés de seconde, voire de troisième main, l’incertitude liée à la qualité des copies. Cependant, les auteurs ont pu avoir accès aux documents écrits des de la chancellerie songhaï, Abderrahmane Sa’adi écrit ainsi « […] J’ai vu moi-même l’original de ces documents […] » (page 216).
– Kâti (Mohammedet Kâti (Ithun), « Tarikh el-Fettach » ou Chronique du chercheur : documents arabes relatifs à l’histoire du Soudan, par Mahmoud Kâti ben El-H= adj El-Motaouakkel Kâti et lhun de ses petits-fils, 1913, Paris, aux éditions Leroux éditeur, traduction et notes critiques par Octave Houdas et Delafosse, en deux volumes,volume 1 le texte arabe et ses variantes en fonction des manuscrits, et en volume 2 la traduction française avec l’ensemble de l’appareil critique.
– Sa’adi (Abderrahmane) « Tarikh es-Sudan » par Abderrahman ben Abdallah ben’ Imran ben ‘Amir Es-Sa’di, 1898-1900, Paris, aux éditions Maisonneuve, reproduction photographique faite en 1981 de l’édition originale de 1900, deux volumes, en volume I le texte arabe (326 pages) et en volume II la traduction française de Octave Houdas (540 pages et XIX pages d’appareil critique) (ISBN 978-2-7200-0495-7).
Les sources orales songhaïs. Les traditions de Téra (le « Dit de Téra » notamment) recensent un certain nombre de récits correspondant aux guerres des askias contre les Marocains. Un ouvrage collectif en a fait la collation. Le terme de tradition « orale » est peut-être exagéré car maints « traditionnistes » (griots et musiciens) interrogés ont fait clairement mention des Tarikhs, mais évidemment pas ceux de Tombouctou, il peut s’agir ici de manuscrits adjami, peut-être le « Tarikh de Say » que Boubou Hama prétendait avoir découvert.
C’est par exemple le cas du griot Bonta, de la chefferie de Téra, interrogé en 1973 par Moussa Hamidou (responsable de l’enregistrement des traditions orales de l’Institut de recherches en sciences humaines (IRSH de Niamey, Niger). Bonta fut réenregistré en 1975 et en 1982 après que les colloques de la fondation SCOA-ARSAN de 1976 à Bamako et de 1977 à Niamey ont montré des fragilités méthodologiques. Bonta répète à plusieurs reprises en réponse à des demandes de précisions de ses interlocuteurs : « Peut-être, mais ce n’est pas ce que disent mes tarikhs »
– Hammadou (Soumalia) dit « Bonta », Moussa (Hamidou), et Diouldé (Laya), Les traditions des Songhay de Téra (Niger), 1998, Paris-Niamey, aux éditions Karthala, en partenariat avec le CELHTO (Niamey-Niger) et l’Association pour la recherche en Afrique noire (ARSAN), collection 3Hommes et sociétés : tradition orale », préface de Jean Rouch, 304 pages (ISBN 978-2865378517).
Les sources espagnoles. Le récit d’un « anonyme espagnol » est le témoignage européen le plus proche géographiquement et chronologiquement des faits. Utilisé par l’historiographie française et anglo-saxonne, la paternité de l’œuvre est maintenant attribuée à un émissaire de Philippe II à Marrakech, peut-être Juan de Medina, qui, n’ayant pas accompagné l’expédition, en aurait composé le récit via le témoignage d’un courrier de Djouder Pacha, un certain Ali el-Adjemi ce qui veut dire « Ali le renégat », envoyé avec les propositions de paix d’Ishaq II (août 1591).
Selon Manuel Villar Raso, la Bibliothèque des études arabes de l’université de Grenade possède deux documents relatifs à l’expédition du Soudan :
un récit anonyme d’un moine (ou d’un jésuite ?), ambassadeur de Philippe II auprès du sultan Ahmed el-Mansour, et le carnet de voyage de Djouder Pacha rédigé en Castillan. Le récit de Djouder Pacha est utilisé par deux auteurs français issus des troupes coloniales stationnées un en Afrique Occidentale française (AOF) pour le général Yves de Boisboissel, et au Maroc pour le colonel Henry de Castries, cartographe et historiographe du protectorat du Maroc, officier aux Affaires indigènes et arabisant reconnu : aucun d’eux cependant ne va aussi loin que Manuel Villar Raso en attribuant de façon certaine le carnet de notes à Djouder Pacha.(Source : Wikipédia)
Voilà chers(es) toutes & tous, j’espère que cette histoire vous aura intéressés(es), c’est sur que c’est pas vraiment dans les livres d’écoliers que l’on apprend le fin mot de l’histoire, néanmoins, des humains ont pu retranscrire toutes ces batailles et leurs déroulements.
Ce sera donc tout pour aujourd’hui, je vous abandonne et je vous souhaite à vous et aux vôtres un agréable week-end remplit de bonnes choses.
Prenez bien soin de vous, je vous retrouve lundi prochain.
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Paola