Comme je passe par là, je pose ça ici…. Comment voulez vous que la gente féminine soit respectée quand dans une société un colonel abat sa femme pendant que les enfants sont dans une autre pièce ? Et ça passe sous silence, la presse et autres médias ne reviennent point dessus pour éclairer l’opinion !
Quand un sous préfet liquide sa petite amie en prétextant qu’il a fait une erreur de manipulation de son arme de service, quand un enseignant de philo manque de respect au sous préfet parce que c’est une femme qui lui donne des ordres, quand une femme meurt dans un hôpital de renom étant elle même médecin pour grossesse dit-on compliquée, quand une autre décède avec ses jumeaux devant les clichés d’androïdes, quand elles sont bâchées sur moto sans que cela n’émeuve X ou Y, quand elles obligées de supporter les infidélités de leurs époux ou d’aller sur le trottoir, histoire de satisfaire parfois la famille ou de nourrir les enfants qu’un inconscient a abandonné, comment comprendre en un mot le machisme de la société kmer, quand un lion comme Clinton se retrouve dans fellation magistralement administrée par sa très tendre en ligne, peut-être en souvenance de la qualité du piment du grand 9 qui a été mise en ligne vraisemblablement par lui-même en 2015 avant son mariage en grande pompe avec son ivoirienne !!!
Non mais, le harcèlement, les attouchements et autres abus sur les femmes ont encore de grands jours devant eux dans une société où les femmes sont exécutées avec enfants par des forces de défense, quand elles ne sont pas décapitées par les séparatistes.
En fait la gente féminine a beaucoup de chemin à faire au kmer, encore en référence aux nombreux viols et abus dans bon nombre de familles, où ce sont les parents qui abusent eux mêmes des leurs, ou au regard des MST (Maladies Sexuellement Transmissibles) au secondaire et supérieur…
Vive les mères de l’humanité malgré tout ce qu’elles endurent au quotidien.
Max de respect à vous chères femmes, épouses, filles , mères et sœurs🤝🏿🤝🏿🤝🏿
Oui Chers(es) amis(es) on ne peut que les respecter, malgré l’omerta qui règne autour d’elles et nous hommes, humains, devons dénoncer toutes ces horreurs dès que nous en avons connaissance, nous devons défendre ces femmes qui ne sont pas physiquement le sexe fort, mais qui l’est par son courage pour se relever.
Nous ne devons pas oublier non plus que « nos femmes » sont le socle de la société camerounaise. Voilà ce que je voulais dire aujourd’hui.
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Kap
