Bonsoir, comme je vous le disais hier au soir, je viens partager avec vous le courrier prouvant qu’il y a bien des loges maçonniques au Cameroun, malgré la dénégation de certains de ses membres… Pour information, il faut également savoir que : La première Grande loge féminine d’Afrique est installée à Douala depuis le samedi 02 décembre 2017 !
Voici donc copie du courrier :
Lettre Au GM Ad Vitam de la GLCAM: Pierre Moukoko Mbonjo
Publié le
De l’indéfinition des missions à l’absence de vision : les complaintes d’une Obédience Maçonnique mal dans sa peau
À l’ordre Très Respectable Frère Grand Maître !
Nous Vous disons : à l’ordre!
Épée dans la main, Maillet sur la poitrine, Tablier bien dressé sur le plexus solaire, pas cadencé!
Nous Vous saluons avec tout le respect digne d’un grand dignitaire! Sagesse, Force, Beauté, Révérence Chevaleresque, Ordre, Opulence, Rectitude, Loyauté, Sincérité!
Nous Vous disons : à l’ordre!
Grand Maître, Très Respectable Frère,
Je commencerai cette planche par une citation simple :
Management is doing things right, Leadership is doing right things
Il y a près de 15 ans, une délégation de Maçons camerounais, dont vous fûtes, se rendit en France, aux fins de négocier l’obtention d’une patente de régularité auprès de la Grande Loge Nationale Française. Ceci aboutit au rapatriement de la Respectable Loge Mont Cameroun au pays, et à la création de la Grande Loge du Cameroun, Obédience Maçonnique reconnue REGULIERE. Le but recherché était louable et le travail abattu, très consistant. Mais, tout ceci péchait par un détail qui va s’avérer être, par la suite, le grain de sable qui grippe la plus parfaite des machines : l’indéfinition des missions et l’absence d’énonciation d’une vision clairement définie et partagée lors de la création de l’Obédience.
La présente planche, loin de se poser en objecteur de conscience et encore moins en donneur de leçons, part du principe du Maçon libre dans une Loge libre. Elle se veut modestement à la fois, l’expression du point de vue cru de certains Maçons Réguliers du Cameroun et de la diaspora qui se sentent trahis mais surtout, la tentative d’ouverture d’un débat sur une problématique dont la non-prise en compte dans vos approches managériales au sein de la Grande Loge du Cameroun constitue à ce jour, le vecteur majeur de ses échecs (Constitution et Règlements Généraux inadaptés, car « copiés-collés » de ceux de la GLNF, d’où vos dérives autocratiques et votre volonté de vous maintenir ad vitam comme Grand Maître des Loges Bleues et patron des éventuelles Loges Rouges, faisant une chasse sans pitié à tous ceux qui sont plus « gradés » que vous ou qui « menaceraient » de prendre votre place ; absence totale d’administration, aucun membre de l’Obédience n’ayant ni Matricule, ni Carte d’Identité ou Passeport Maçonnique et encore moins, Catéchisme ou Diplôme de Maître ; moins de 100 membres effectifs dont 65% de régularisés, et un taux de présence global de 10% aux Tenues, les Frères préférant trouver refuge sous d’autres cieux plus bleus – Ordres Templiers, Opus Dei, Kabbale; pas de locaux consacrés au travail maçonnique, ceux de Yaoundé travaillant dans le séjour exigu et fort inconfortable d’une villa de location et ceux de Douala, dans une chambre d’hôtel – vous soutenez que vous construirez un Temple à Yaoundé après l’Eglise de votre village, pince sans rire; travaux initiatiques dans le caniveau ; arguments de recrutement fallacieux, régularisations fantaisistes d’amis et collègues Ministres, qui ne remettent plus les pieds en Loge une fois terminée la cérémonie ; situation financière de l’Obédience inconnue – que deviennent les aides financières que vous affirmez recevoir du « Patron » ? Et, lui dites-vous vraiment la vérité sur la GLCAM ?; …).
En effet, évoluant dans un monde maçonnique de plus en plus complexe et concurrentiel dans lequel même les Ordres Initiatiques se devront d’adopter les canons modernes de la gestion, la Grande Loge du Cameroun doit se départir du modèle managérial l’ayant toujours caractérisé et qui, dans certaines écoles, est connu sous le vocable du « Garbage Can Model », traduit par « Modèle du Seau Poubelle », dans lequel tout projet ou initiative demeure une probabilité, mais jamais n’aboutit à une décision ou une solution optimale.
Grand Maître, Très Respectable Frère,
Comme toutes les Obédiences Maçonniques du monde, la Grande Loge du Cameroun devrait avoir des missions, mais qui en réalité aujourd’hui, sont des modèles stéréotypés et d’une indéfinition affligeante, repris des standards de la GLNF – et qui font aujourd’hui la perte de cette Obédience- sans aucune emprise sur nos réalités. S’interroger dès lors sur l’essence même de son existence en tant qu’organisation, aurait permis à la Grande Loge du Cameroun de redéfinir ses missions, à travers lesquelles elle justifierait son existence et puiserait l’inspiration de ses actions.
La mission devrait être omniprésente et chaque action, chaque projet entrepris par la Grande Loge du Cameroun devrait contribuer directement ou indirectement, à sa réalisation. Ainsi, la faillite actuelle de la Grande Loge du Cameroun, est le produit de votre indifférence, Grand Maître, face à des missions indéfinies.
La mission ne formulant que l’essentiel, la vraie valeur ajoutée, celle de la Grande Loge du Cameroun se devrait d’être l’énonciation d’un dessein, d’un but à long terme, justifiant son être en tant qu’entité. Elle devrait pouvoir être l’expression du but général de l’Obédience qui, idéalement, serait en phase avec les attentes et les valeurs des Maçons camerounais et de leur contexte socio – culturel. Elle définirait le périmètre d’activité et les frontières de la Grande Loge du Cameroun, en réponse à un triptyque simple en apparence mais très souvent ardu, permettant d’affirmer :
– QUE FAIT la Grande Loge du Cameroun ?
– POUR QUI elle le fait?
– COMMENT elle le fait?
La mission revêtirait aussi en fait une valeur symbolique ou philosophique, et parfois même humaniste, car elle est l’affirmation de son intention fondamentale, de son être profond. Mais si elle devait représenter la justification de l’existence de la Grande Loge du Cameroun, seul l’avenir permettrait de juger de sa pérennité.
La Grande Loge du Cameroun devrait donc se représenter son futur et se demander si les besoins auxquels elle répond aujourd’hui y existeraient encore demain ou quelle forme ils y prendraient. Elle devrait s’interroger sur les éventuelles nouvelles exigences de son Domaine d’Activité Stratégique, ou sur l’émergence de nouvelles possibilités qui lui permettraient d’accomplir avec plus de pertinence et de performance, la mission qu’elle se serait choisie. Pour cela, elle devrait comprendre les changements en cours mais également, anticiper ceux à venir afin de voir dès aujourd’hui comment sera fait demain.
Grand Maître, Très Respectable Frère,,
À ce stade de la réflexion, la Grande Loge du Cameroun devrait se doter en plus de missions claires et aux contours bien définis, d’une vision, qui est la représentation d’un futur désiré, chargé de convictions et d’innovations. Ceci induirait le choix et l’organisation des actions de manière cohérente, en indiquant quelle place l’Obédience souhaiterait occuper ou, ce qu’elle voudrait être dans ce futur.
La vision permettrait d’anticiper, de s’inventer l’avenir car si la Grande Loge du Cameroun veut avoir son mot à dire dans cet avenir, elle se doit d’identifier dès à présent les mesures à prendre, de savoir quelles compétences acquérir, quels axes de développement privilégier.
La vision serait aussi motivatrice, car elle fixerait des challenges tellement ambitieux qu’ils paraîtraient impossibles à accomplir, mais le fait qu’elle permette de faire naître et de fédérer la fierté d’appartenance à un groupe ambitieux et entreprenant, galvanisé par un puissant projet collectif, repousserait toujours plus loin les frontières.
La vision enfin, permettrait de gagner la confiance du groupe, car dans toute organisation, les individus craignent l’inconnu plus que tout autre chose. Un futur qu’ils ne peuvent pas s’imaginer ou se représenter clairement, est propice à l’apparition des pires craintes. La problématique ici s’avère simple : les Maçons Réguliers ont besoin d’avoir confiance à la fois en ceux qui les dirigent et, avec qui ils travaillent, car ils ne veulent plus se contenter de s’asseoir en Loge – quand c’est déjà possible – mais, de savoir à quoi leur présence sur les colonnes contribue.
Par la définition d’une vision, la Grande Loge du Cameroun devrait procéder à un changement radical de ses paradigmes en élaguant de son vocabulaire des tics verbaux tels « c’est comme ça », « on a toujours fait comme ça », « on va encore faire comment » et en se posant à ce niveau aussi trois questions fondamentales :
– QUI sommes-nous?
– QUEfaisons-nous?
– OÙ allons-nous?
Ces questions permettraient d’énoncer ce que veut être la Grande Loge du Cameroun dans le monde à venir, en partant d’une situation rêvée ou d’une ambition affirmée pour définir les conditions nécessaires à sa réalisation. Il faudrait définir l’organisation « Grande Loge du Cameroun voulue » dans le futur, par opposition à « Grande Loge du Cameroun probable ».
La réalisation d’une vision n’étant pas le fait d’un individu, il est donc nécessaire de la communiquer, pour en partager la passion et les convictions avec tous les Maçons Réguliers et le réseau propriétaire et, susciter leur adhésion en leur permettant de se l’approprier, car si chaque partenaire a ses motivations propres, le partage d’une passion, la participation à un challenge devrait permettre de partager une même aspiration, un même objectif. La vision devrait ainsi être discutée longuement et traduite de façon très explicite par un pacte ou une charte.
La vision deviendrait charte, règles d’or, pacte ou impératif moral, si elle est élaborée de manière consensuelle, affichée, lue, connue, répétée et entièrement intégrée par les membres de la Grande Loge du Cameroun, si elle sert de référence pour les choix stratégiques et éthiques et, si elle devient fondement du comportement quotidien et règle de vie, alors la culture organisationnelle de la Grande Loge du Cameroun deviendrait cohérente avec la stratégie. L’Obédience serait proactive, créative et apprenante.
Le futur étant destiné à devenir le présent, puis le passé, la Grande Loge du Cameroun devrait sans cesse réajuster sa vision, voire la redéfinir en la réinventant pour se fixer de nouveaux horizons, et affirmer certains préceptes majeurs entre autres :
– contrôler sa destinée avant que quelqu’un d’autre le fasse,
– se diriger au lieu de se gérer,
– changer avant d’y être contraint.
Ceci l’obligerait à maintenir une cohérence entre sa vision et son savoir – être car, lorsque des individus adhèrent à une vision, c’est leur confiance qu’ils lui accordent et tout écart non expliqué ou injustifié par rapport à l’ambition affichée est sévèrement sanctionné.
Ici se poserait le problème de l’acculturation, en d’autres termes, de changement radical de culture au sein de la Grande Loge du Cameroun, la culture englobant les philosophies, valeurs, croyances, postulats, attentes, attitudes et normes communes à ceux qui y adhèrent, car une bonne vision comprend un socle culturel et un futur désiré.
La culture organisationnelle actuelle de la Grande Loge du Cameroun comprend :
– des comportements que l’on observe avec persistance dans les rapports entre Maçons Réguliers (le pouvoirisme, le mépris, la délation, le ponce pilatisme…),
– des normes partagées par le groupe, et dont les données sont biaisées (tout pour une minorité, rien pour la majorité),
– des valeurs dominantes (la corruption, le clientélisme, les prébendes et la prévarication),
– des règles du jeu qu’il faut suivre pour faire « une carrière maçonnique » au sein de la Grande Loge du Cameroun, et qui sont loin d’être définies ; si oui, loin de l’éthique (tribalisme primaire, coterie, petits arrangements mafieux…).
Pour réussir sur la durée, la Grande Loge du Cameroun se devrait de faire de bons choix stratégiques et savoir mettre en place à chaque fois, l’organisation humaine capable d’implémenter les nouvelles stratégies de manière compétitive et efficiente, en s’adaptant en permanence aux nouvelles donnes environnementales. Ainsi, il faudrait comprendre que dans le monde mouvant qui est le nôtre, stratégies et adaptation de la Grande Loge du Cameroun sont désormais considérées comme liées et faisant partie des tâches fondamentales du Grand Maître que vous êtes. Culture, vision et valeurs sont d’autant plus fondamentales que comme souvent constaté, s’il y a contradiction entre la stratégie et la culture organisationnelle, c’est la culture qui l’emportera. Et ne l’oublions jamais, toute organisation est à l’image de son leader.
Grand Maître, Très Respectable Frère,
Le Grand Maître que vous êtes, se doit donc de diriger la Grande Loge du Cameroun, et non de la gérer comme cela a été le cas jusqu’à ce jour, en faisant un strict distinguo entre le leadership et le management classique. Si diriger c’est prévoir, organiser, contrôler, commander, c’est de plus en plus, fonder ou changer une culture, créer et entretenir une vision partagée et, savoir passer la main si, en véritable Maçon Opératif et sincère, l’on a atteint son seuil d’incompétence.
Forte, la culture déviationniste actuelle de la Grande Loge du Cameroun induit des pratiques inadaptées et incite des Frères, même brillants comme c’est souvent le cas, à l’engager dans de mauvaises voies. Le challenge ici consisterait pour vous, Très Respectable Frère, Grand Maître, à privilégier les hommes et les processus créateurs de changement, en mettant l’accent sur leur capacité à conduire des réformes, car il ne faut pas attendre d’un homme, s’il n’est pas motivé, qu’il participe au changement de la culture d’une organisation. Par ailleurs, le Chef Suprême (sic) que vous êtes, au-delà des déviances d’autocratie et de féodalité, doit être le premier à faire l’effort de se comporter conformément aux valeurs de l’Ordre Maçonnique.
Un certain nombre d’orientations devraient ainsi être données, qui sont autant de principes de leadership à mettre en oeuvre pour amener les Maçons Réguliers à partager la vision de l’avenir :
– la remise en question des processus: le Grand Maître doit être un pionnier, qui favorise l’innovation et appuie les personnes qui ont des idées, en tenant compte du fait que la Maçonnerie est l’arrière-cour de la démocratie, et non une monarchie ;
– l’enthousiasme, qu’il doit leur communiquer, ce qui les incitera à partager sa vision de l’avenir;
– l’aide à l’action, par le privilège au travail d’équipe, le soutien aux efforts des autres et l’aide au développement de leurs talents;
– l’exemple, car les dirigeants doivent servir de modèle aux autres pour leur indiquer comment agir;
– l’accent mis sur les grandes réalisations, par l’appel aux émotions dans le milieu initiatique, par le gain aussi bien des coeurs que des esprits.
En plus du partage de la vision, un élément fondamental est la responsabilisation des collaborateurs:
– en les conduisant à participer au choix des tâches qui leurs seront assignées et à la sélection des méthodes employées ;
– en établissant avec eux un climat de coopération, d’échange de l’information, de discussion et de responsabilité commune à l’égard des objectifs;
– en les invitant à prendre des initiatives et des décisions, de même qu’à utiliser leurs connaissances;
– en cas de difficulté, en leur demandant leur avis et en les aidant à imaginer des solutions;
– en leur laissant le champ libre, leur donnant ainsi la liberté voulue pour mettre en pratique leurs suggestions et les solutions qu’ils proposent.
La refondation de la Grande Loge du Cameroun doit ainsi être une oeuvre inscrite dans le temps, une oeuvre permanente et sans cesse perfectible, une oeuvre qui engage tous les Frères, mais une oeuvre dont le porteur se doit d’être le Grand Maître de la Grande Loge du Cameroun.
On dit couramment dans le gotha maconnique mondial, que les Francs-Maçons Camerounais n’ont pas de mémoire, et que la notion du temps leur fait défaut. Surtout, le manque d’alternance criarde au sein de la Grande Loge en fait des Maçons fantoches, des béni oui-oui de second ordre. Et c’est vrai. D’autant plus vrai si on en juge par leur naïveté à l’aune des promesses qui leur sont faites et qui ne sont pas tenues par le Grand Maitre que vous êtes.
C’est de la Franc-Maçonnerie qu’il s’agit et non d’un royaume, Cher Frère Grand Maître. Avez-vous un seul instant conscience du mal que vous faites subir depuis près de 15 ans à tous ces Frères restés fidèles à nos idéaux et principes? Êtes-vous un Grand Maitre au service des Frères ou un Ayatollah qui impose sa myopie visionnaire d’une Maçonnerie qui tombe en lambeaux? Laquelle myopie vous a empêché de discerner entre le peuple des Maçons et la foule des Maçons? Oui, Cher Grand Maître, la Maçonnerie Régulère au Cameroun est une foule, et non un peuple… Je laisse cela à votre méditation.
Grand Maitre et Très Respectable Frère
Le vent de l’Orient vient de tourner et il secouera votre gréement. Prenez-en les leçons, sinon il ne vous restera qu’à finir sur les berges de l’oubli. Il est grand temps de vous rendre à l’evidence que 15 ans de votre règne sans partage, sont 15 ans de trop. Sommes-nous entre Frères ou entre un maître et ses esclaves?
La colère des Frères est immense et les colonnes sont en ordre de bataille. Bientôt la révolte grondera sur vos yeux ! Le moment est venu de rendre des comptes à tous les Frères. Que vous le vouliez ou non, les honnêtes Frères que nous sommes, les Frères oubliés, les Frères invisibles, les Frères spoliés, les Frères martyrisés, écrirons une nouvelle page de la Maçonnerie Régulière Camerounaise. L’heure n’est plus à la complaisance ou aux courbettes mais plutôt est venu le temps d’écoute, d’altenance, surtout de projection vers le futur d’une histoire qui s’écrira avec ou sans vous. La vraie histoire de la Franc-Maçonnerie Régulière Camerounaise devra s’écrire en lettres d’Or et dorénavant, l’on dira de nous, de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud du Cameroun, en Afrique et voire de par le monde:
Vous voyez, ces gens-là, ce sont des Francs-Maçons Camerounais, ce sont des gens bien aux sens les plus nobles de l’appelation”.
Grand Maitre, Très Respectable Frère,
Réflechissez et méditez un seul instant à ces mots du Sérénissime Grand Maître de la Grande Loge du Chili passé à l’Orient Eternel et fondateur de la Loge Progreso n° 4 de Valparaiso où il fut initié, Salvador Alliende:
« Je rêve à la nuit de mon Initiation, lorsque j’entendis ces paroles: « Les hommes sans principes et sans idées fermes sont comme les bateaux dont le timon est rompu. Ils se brisent contre les écueils »”.
Oui, Grand Maitre, Très Respectable Frère, c’est un nouveau jour qui se lève et les choses ne seront plus comme avant, car ”Dura Lex, Sed Lex”.
Telle est, Grand Maître, Très Respectable Frère, ma modeste contribution au solutionnement des inerties au sein de la Grande Loge du Cameroun, en vue de son arrimage à la modernité.
Cette planche vous est adressée à titre privé mais sera aussi diffusée sous 15 jours, dans tous les réseaux maçonniques du monde, afin que nul n’en ignore.
Grand Maître, Très Respectable Frère
Que Le Très Haut continue de guider vos pas afin que vous puissiez accomplir Votre Haute Mission.
À l’ordre Très Cher Frère!
VIVE LA FRATERNITE!
QUE LA BEAUTE NOUS GUIDE!
J’AI DIT!
Maxwell Bityeki Emmanuel.
Voilà ce sera tout pour ce volet, il est évident qu’il faudrait des semaines pour chercher tous les noms des personnalités du Cameroun faisant partis des loges maçonniques, mais je ne dis pas que je ne fouinerais pas, car j’aime ça ! En attendant je vous laisse pour aujourd’hui, je vous souhaite donc une agréable fin de journée car le week-end se profile dans quelques heures… Prenez soin de vous et à bientôt ! Tania