Posté par Boris Bertolt sur Facebook, publié le 15 avril 2018 – Info en continu… L’ARMÉE BRÛLE DES VILLAGES ENTIERS EN ZONE ANGLOPHONE ! Le 6 avril 2018, le centre pour les droits de l’homme et la démocratie en Afrique (Maitre Agbor Balla Nkongho) a publié un rapport sur les églises brûlées, les maisons brûlées et une grand-mère brûlée à mort chez elle dans le village de mungo vendeur, dans la région du Sud-Ouest.
Le porte-Parole de l’armée Camerounaise, le colonel Didier Badjeck a rejeté ces événements et a dit :
“Nous n’avons non plus l’intention de répondre aux manœuvres d’intoxication et de diversion, c’est extraordinaire ces capacités que certains prétendus acteurs de la région peuvent avoir à maquiller la vérité, ou à la transformer. Que l’on nous présente les preuves de ces exactions prétendument opérées par nos forces »
Nous présentons par la présente au public, des photos de mungo vendeur, un petit village situé à environ 40 km de nguti à koupé-Manengouba. Des maisons complètement brûlées, un village totalement désert et des civils se cachant pour la sécurité dans les forêts.
—Agbor Nkongho
Centre pour les droits de l’homme et la démocratie en Afrique.
On April 6, 2018 Centre for Human Rights and Democracy in Africa published a report of churches burned, houses burned and a grandmother burned to death in her home in Mungo Ndor village, South West Region.
The spokesman for the Cameroonian army, Colonel Didier Badjeck rejected these occurrences and said, “We also have no intention of responding to the manoeuvres of intoxication and diversion, it is extraordinary that some of the so-called actors in the region may have to disguise the truth or transform it, let them present to us the evidences of these alleged abuses by our forces, »
We hereby present to the public, photos of Mungo Ndor, a small village located about 40km away from Nguti in Koupé-Manengouba. Houses completely burned, village totally deserted village and civilians hiding for safety in the forests.
—Agbor Nkongho
CENTRE for Human Rights and Democracy in Africa.