A Sangmélima, au sud du Cameroun, on en est encore à demander une dot au futur marié qui veut épouser une jeune fille ! Sangmélima se trouve sur la rivière Lobo (ou Lobo Afamba), un affluent du Dja, à 170 km au sud de Yaoundé, la capitale du pays, à 120 km à l’est d’Ebolowa, la capitale régionale, et à 130 km de la frontière gabonaise ! La ville est composé de 51 333 habitants pour Sangmélima. Comme j’ai eu vent de la dot en question, je vous en fais le partage !
Vous allez pouvoir constater par vous même sur le document ci-contre que les coutumes ont la dent dure, que les parents n’évoluent pas et qu’ils considèrent leur propre fille comme une monnaie d’échange…. !!! Je pense que ce genre d’habitude est néfaste au développement des futurs mariés et appauvrit dès le départ le marié.. Tout l’argent dépensé là est pour les parents de la future mariée, juste pour la famille et pas pour les jeunes mariés ! Car franchement que ferait bien une jeune mariée d’un costume de taille 52, ou d’une tronçonneuse ?
Ce serait presque risible si s’en était pas triste à mourir !!! Si encore toutes les choses achetées rentraient dans le futur foyer, mais même pas !!! Non, c’est juste la famille de la mariée qui en profite… Alors franchement je vois pas l’intérêt de ces traditions ancestrales qui n’ont plus cours au 21ème siècle ! Il faut apprendre à vivre avec son temps et les camers comme la plupart des africains devraient plutôt se focaliser sur les achats dont le futur foyer aura besoin et pas à enrichir des personnes qui prennent leur fille pour une vulgaire marchandise ! Paola
