Bonjour à toutes & tous, alors en ce mardi, nous allons nous intéresser à ce qui a pu se passer un 18 mars en Afrique.
Et pour cela nous allons regarder dans le Rétro en se rappelant des faits importants qui très souvent ne sont pas inscrits dans les manuels scolaires aussi nous allons les développer. Personnellement je n’ai trouvé que trois évènements, mais je vais mettre en avant le plus important, même si les autres comptent quand même dans l’histoire de l’Afrique. Alors voyons :

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Parlons de Marien Ngouabi. Né le 31 décembre 1938 à Ombellé, au Congo, il a été président de la République populaire du Congo de 1969 jusqu’à son assassinat le 18 mars 1977. Militaire de carrière, il a gravi les échelons pour devenir une figure clé de la politique congolaise. Ngouabi était connu pour son idéologie marxiste-léniniste et son engagement envers un socialisme scientifique. Il a fondé le Parti congolais du travail en 1969, consolidant son pouvoir et cherchant à renforcer l’unité nationale face aux divisions tribales et au néocolonialisme. Marien Ngouabi jouissait d’une certaine popularité, notamment auprès des jeunes et des classes populaires, grâce à son style de vie modeste et son engagement pour le socialisme scientifique. Il était perçu comme un leader proche du peuple, préférant les tenues simples aux apparats officiels et n’hésitant pas à travailler aux champs. Cependant, son régime n’était pas exempt de critiques, et il a dû faire face à plusieurs tentatives de coup d’État, ce qui montre que son leadership ne faisait pas l’unanimité. L’assassinat de Marien Ngouabi reste un sujet complexe et entouré de mystères. Certains analystes et documents historiques suggèrent que des intérêts étrangers, notamment français, auraient pu jouer un rôle indirect, en raison des tensions liées aux ressources pétrolières et à la politique anti-néocolonialiste de Ngouabi.
Cependant, il est important de noter que ces allégations ne sont pas universellement acceptées et manquent souvent de preuves irréfutables.
Ce qui est certain, c’est que son régime marxiste-léniniste et ses réformes économiques ont suscité des oppositions internes et externes, ce qui a pu contribuer à son assassinat. Il faut comprendre que le poids de l’histoire est lourd, mais il ne définit pas l’avenir. À mon avis chaque génération a l’opportunité de réécrire son récit.
Et vous chers(es) lectrices & lecteurs, que pensez-vous qu’il faudrait pour surmonter ces obstacles et favoriser une évolution plus harmonieuse, surtout lorsque l’on voit se qui se passe en ce moment en RDC ?
En Afrique, un attentat à Djibouti contre des Occidentaux fait 12 morts dont cinq français et trois allemands ainsi que 60 blessés.
L’explosion d’une bombe dans le café L’Historil, lieu de rendez-vous des militaires français de la base de Djibouti. L’attentat a été perpétré par Monsieur Adouani Hamouda Hassan, qui a fait exploser une bombe sur la terrasse du café. L’auteur de l’attentat, de nationalité tunisienne, né le 4 mai 1960. aurait reconnu les faits en expliquant avoir été recruté à Damas « pour le compte d’une organisation terroriste moyen-orientale » .Adouani Hamouda Hassan serait arrivé à Djibouti le 8 mars 1987 et il était muni d’un visa de dix jours. Adouani Hamouda Hassan sera condamné à mort en 1991 pour l’attentat du café Historil de Djibouti.
18 mars 2015 – Un attentat terroriste au Musée du Bardo à Tunis fait 24 morts et une cinquantaine de blessés. l’état islamique revendique cet acte le lendemain en précisant que seuls les étrangers qui visitaient le musée étaient leurs cibles.
À la mi-journée deux terroristes armés de fusils d’assaut de type kalachnikov et des grenades, portant des ceintures d’explosives remplies de Semtex ont pénétré dans l’entrée commune du musée et du parlement Tunisien où avait lieu des auditions sur la loi anti-terroriste. Ils ont ouvert le feu devant le parlement et les députés ont été évacué. L’entrée commune n’est gardée que par un seul agent armé qui, pris de panique à la vue des armes, quitte son poste. Les attaquants tirent sur les touristes qui descendent d’un bus puis les pourchassent à l’intérieur du musée, où se trouve une centaine de visiteurs. Ils s’y retranchent en retenant plusieurs otages. Aux alentours de 15 h 30, les forces de l’ordre tunisiennes donnent l’assaut du musée.
Les deux terroristes sont tués pendant l’opération et les otages libérés. Malgré la fin de l’opération, deux touristes espagnoles et un guide passent la nuit cachés dans le musée et sont retrouvés le lendemain.
Ce sera tout pour aujourd’hui chers(es) lectrices & lecteurs, je tiens à préciser que si d’autres personnes connaissent des évènements du 18 mars en Afrique, alors me contacter en privé, car cela arrive d’oublier…Et nous avons toutes & tous un devoir de mémoire, même si pour certains cela coûte de regarder la réalité en face. Je vous souhaite à toutes & tous un agréable mardi remplit de petits plaisirs. Prenez bien soin de vous et des personnes qui vous sont chères.
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Paola