Bonjour à toutes & tous, alors ce matin c’est moi qui suis là et j’en profite pour parler de la plupart de mes compatriotes à savoir les africains.
En effet de disais yesterday que le nègre aime à casser l’échelle, une fois sorti du trou, surtout pour que personne d’autre ne puisse remonter du dit-trou !! Non mais, cela ne vaut pas que pour le foot, sinon dites un peu quel fils de catéchiste peut encore devenir président pendant 43 ans ou même payer les études d’un enfant au secondaire juste avec sa fortune de catéchèse ?
Le concerné s’en fout royalement de tous les catéchistes, or c’était le métier de son paternel, est-ce que vous voyez le nègre ou vous voulez d’autres illustrations, un peu comme les étudiants qui avant, avant étaient payés mais depuis, être étudiant n’est pas donné à n’importe qui car il faut aller au delà d’une somme de 50000 fcfa, voir plus, à poser dans une banque, acceptée par toutes les universités.
Il faut les sous, des photocopies, (gombo des profs qui n’ont jamais payé les 50 kolo là quand ils étudiaient) sans compter le gnama (même si c’est loue sauveur) en une année, le tako, et au finish c’est pour faire moto, sinon il faudra encore plus de sous pour s’exiler au Canada ou ailleurs. Beaucoup diront que c’est à cause du toubab n’est ce pas ?
Alors je dis nada, c’est très faux, car le nègre a la désagréable l’habitude de casser l’échelle depuis toujours et c’est pourquoi le développement en Afrique est une utopie, du fait que les africains majoritairement ne conçoivent pas qu’une bougie ne perd rien de sa luminosité en permettant à une bougies de s’allumer.
Ils pensent et là je réitère mon raisonnement, tout ce qui leur arrive est toujours de la faute des autres, jamais la leur, et pour en sortir, ils attendent que Dieu ou Allah fasse le reste. C’est pas comme cela que ça marche.
Voilà ce que j’avais à dire ce matin sur ce bien le bonjour chez vous.
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Kap