Bonjour lectrices & lecteurs du monde, nous nous dirigeons ce matin vers le Cameroun alors qu’approche les élections présidentielles de 2025.
Et il faut savoir que dans ce pays, la liberté d’expression et d’association n’a subit autant de répression.
Dans un communiqué, l’organisation revient sur la déclaration d’illégalité de deux nouvelles coalitions politiques d’opposition.
L’Alliance politique pour le changement, autour de Jean-Michel Nintcheu et Maurice Kamto, et l’Alliance politique pour le changement, autour de Cabral Libii et Olivier Bilé, comptent fédérer en vue de la présidentielle face au RDPC.
Seulement d’après le gouvernement ce serait des mouvements clandestins interdits d’activité. La directrice adjoint de la division Afrique Carine Kaneza Nantulia quand à elle parle d’erreur matérielle en poursuivant : « Notre inquiétude, c’est que la répression que nous observons depuis quelques années continue, surtout que nous avons quand même une élection, fin 2025. Nous sommes aussi inquiets que cette tendance continue avec comme toile de fond, la crise sécuritaire dans les régions anglophones » de plus, « Paul Biya est au pouvoir depuis 1982 ; il en est à son septième mandat. Nous voyons quand même un renforcement d’un climat politique intransigeant, dur et impitoyable, surtout par rapport à cette formation de groupes et mouvements d’opposition qui devrait être considérée comme une caractéristique normale et importante du processus électoral démocratique ». Avec une fermeture de l’espace civique, on peut effectivement penser que c’est réellement une violation des droits à la liberté d’expression, d’association.
Personnellement je pense qu’il serait bon que les militants d’opposition qui sont emprisonnés soient libérés, comme cela a été fait au Sénégal pour les élections de dimanche dernier, un peu tard je le concède, mais ils ont été libérés.
Maximilienne Ngo Mbe, directrice exécutive du Réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale, réclame la libération des 41 militants du parti d’opposition de Maurice Kamto qui sont en prison.
Personnellement je pense que les camerounais feront le bon choix pour surtout voir un processus électoral apaisé, libre et transparent.
Voilà chers(es) amis(es), ce sera tout pour aujourd’hui, je vous retrouverais demain, en attendant je vous souhaite à vous et aux vôtres une agréable journée.
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Paola