Bonjour à toutes & tous, aujourd’hui je vais partager avec vous cette plainte que je dépose auprès de l’ONU.
Très chère et respectable organisation des Nations Unies, c’est assez peiné que je vous adresse cette plainte contre le peuple kmer, c’est-à-dire contre les populations du Cameroun de l’intérieur et de l’extérieur.
Avant de vous notifier l’objet de ma plainte, permettez Président Guteress Antonio que je vous dise combien je sais, vous avez des tas de dossiers de conflits mondiaux dont il faut gérer les priorités sur la table, je pense ainsi à Haïti, au Soudan, à la RDC, à l’Afghanistan, à l’Ukraine, aux mutins ouest Africains, aux sinistrés marocains et libyens, aux migrants clandestins, aux israélites et palestiniens.
En fait, j’imagine que dormir pour vous cher Antonio, ce n’est pas facile mais voilà je rajoute un nouveau dossier sur votre table car je n’ai pas trouvé mieux, ceci après avoir cherché ici et là un autre endroit où porter plainte contre les populations Camerounaises et espérer gain de cause, espérer réparations, à l’endroit de la personne que je défends qui est désormais dans l’incapacité de se défendre elle-même.
Et voyez vous, si rien n’est fait cher Antonio, je crois que la personne en question sera victime des populations Camerounaises.
Après avoir dit ce qui précède, je dois reconnaître qu’il est impossible d’enfermer, d’incarcérer toutes les populations d’un pays, mais il y a moyen quand même de les punir pour le tort qu’elles continuent à causer à celui pour qui je prends la défense, celui pour qui je dépose plainte, et cette punition c’est d’actionner, au mieux d’activer le FMI et la Banque mondiale pour qu’ils cessent de subvenir aux besoins des populations Camerounaises, encore qu’elles pensent qu’elles peuvent s’en sortir sans.
Le fait que beaucoup ne savent pas que ce sont lesquels bailleurs de fonds qui payent les salaires, un peu comme si un padré donnait de l’argent de poche à son enfant, et bien ces populations pourront ressentir un tant soit peu une punition du fait de leur manque de respect, de droit d’aînesse et surtout leur in humanisme à l’endroit d’une personne très âgée qui n’a plus toutes ses facultés mentales, ni motrices très cher Guteress.
Les populations Camerounaises s’en prennent à une vieille personne, certains comme les enseignants du secondaire lui demandent leur salaire et autres avancements comme s’il fabriquait de l’argent ou même comme si, à son âge il est encore lucide, habileté à comprendre leur plainte. Non mais très cher Guteress, ailleurs les seniors sont exclus de la société, on leur enlève le droit de conduire même, mais au kmer, la majorité de la population trouve qu’un monsieur qui a 90ans, bientôt 91 le 13 février prochain est la personne idoine capable de régler le problème des enseignants, celui des bensikineurs, celui des médecins, des infirmiers, celui des boursiers abandonnés à leur sort aux quatre coins du globe, celui des avancements de soldats, celui des nominations, des pensions retraites.
Je n’ai pas oublier les routes, l’électricité, l’eau potable, la carte d’identité nationale, le noso, Antonio Guteress comment quelqu’un qui a 90 ans peut résoudre toutes ces demandes ? Attendez, vous même, est-ce que les populations camerounaises n’essaient pas ainsi de le pousser au suicide ?
N’ont-elles pas pitié de son âge pour continuer à lui foutre la pression ?
Dans quel pays ne porte-on pas secours, ne respecte-t-on pas les vieilles personnes ?
C’est fort de tout ceci que j’ai décidé vous soumettre le cas des populations kmer qui doivent payer pour tout le tort qu’elles font subir à cette personne âgée qui s’appelle Paul Biya.
Je pense que les nations unies dont vous êtes à la tête peuvent très bien faire pression sur les bailleurs de fonds pour que les populations kmer aient enfin de l’empathie à l’endroit des personnes âgées.
Aussi en restant dans l’attente d’une suite favorable et rapide, voire prioritaire sur tous vos nombreux dossiers, veuillez agréer l’expression de ma profonde sympathie à votre endroit.
Bjr à toutes & tous et la belle journée chez vous.
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Kap