Bonjour internautes du monde, et voilà nous sommes vendredi et nous allons faire un petit tour sur les événements qui ont pu se passer un 24 février en Afrique.
L’important est de ne pas oublier ces événements car nous sommes les garants de l’histoire.
Si cela vous intéresse, suivez-moi c’est par ici
24 février 1834 : Algérie – Le général Desmichel signe sans l’avis du gouvernement français un traité avec le chef berbère Abd el Kader qui reconnaît à ce dernier le titre de commandeur des croyants et la souveraineté sur le beylik d’Oran à l’exclusion des villes d’Oran, d’Arzew et de Mostaganem.
Louis Alexis Desmichels, né à Digne le 15 mars 1779, mort à Paris en 1845, est un militaire français, simple soldat de la Révolution française devenu général sous la monarchie de Juillet, particulièrement connu pour son rôle dans la conquête de l’Algérie et ses relations avec Abd el-Kader.
Abdelkader ibn Muhieddine, aussi connu comme l’émir Abdelkader, ou Abdelkader El Djezairi, né le 6 septembre 1808 à El Guettana, dans la régence d’Alger, et mort le 26 mai 1883 à Damas, alors dans l’Empire ottoman et dans l’actuelle Syrie, est un émir, chef religieux et militaire algérien, qui mène une lutte contre la conquête de l’Algérie par la France au milieu du 19ème siècle.
24 février 1962 : Algérie – Une série d’attentats fait 25 morts à Alger pour la plupart musulmans (fin de la guerre d’Algérie).
La guerre d’Algérie a connu de nombreux attentats contre les populations civiles des départements d’Algérie et de France métropolitaine, toutes confessions et tous milieux sociaux confondus. Tous les belligérants du conflit ont commis des attentats, plus ou moins revendiqués : les indépendantistes du FLN (à la suite de L’Organisation spéciale), les communistes, les anti-indépendantistes de l’armée française (Organisation de la résistance de l’Algérie française – ORAF), de l’Organisation armée secrète (OAS), des services secrets français proches des milieux gaullistes (barbouzes du MPC, La Main rouge).
24 février 1966 : Ghana – Le président ghanéen Kwame N’Krumah est renversé par un coup d’État militaire alors qu’il séjourne en Chine.
Kwame Nkrumah, né le 21 septembre 1909 à Nkroful alors Côte-de-l’Or et actuel Ghana et mort le 27 avril 1972 à Bucarest, est un homme d’État indépendantiste et panafricaniste ghanéen qui dirigea le Ghana indépendant, d’abord comme Premier ministre de 1957 à 1960, puis en qualité de président de la République de 1960 à 1966.
Après une enfance studieuse chez les jésuites, en 1947 il devient secrétaire général du parti indépendantiste, l’UGCC (United Gold Coast Convention). Le parti est cependant essentiellement constitué de notables indigènes, relativement désintéressés par les problèmes des plus pauvres et aux objectifs arrangeants avec les colonialistes.
En février 1948, la police ouvre le feu sur des manifestants, provoquant une vingtaine de morts et des centaines de blessés. Les dirigeants de l’UGCC prennent peur et démettent Nkrumah de sa fonction de secrétaire général.
Il est incarcéré pendant deux mois avec d’autres dirigeants de l’UGCC
Nkrumah encourage les autres nationalistes africains à rejeter les méthodes violentes et défend l’idée que les deux phases de désobéissance civile puis de collaboration gouvernementale avec les colons constituent la meilleure méthode pour gagner l’indépendance.
Les guerres en Algérie, au Cameroun dans les colonies portugaises et le coup d’État contre le gouvernement nationaliste de Patrice Lumumba au Congo ne le font pas changer d’avis et il continue de défendre cette vision non-violente de la lutte anticoloniale jusqu’en 1966.
Voilà mes chers(es) amis(es) ce sera tout pour cette fin de matinée, je vous abandonne et je vous retrouverais en fin d’après midi. En attendant je vous laisse et je vous souhaite une excellent journée remplie de choses positives. Prenez soin de vous.
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Paola De Souza