Bonjour lectrices & lecteurs du monde, en ce mercredi je voudrais vous parler d’une histoire très touchante qui s’est passée en Namibie.
La Namibie est l’un des pays majeurs de l’Afrique Australe. Situé à l’extrême ouest de la sous-région, il est bordé au nord par l’Angola, à l’est par le Botswana et au sud par l’Afrique du Sud, tout en bénéficiant de la proximité de l’océan sur toute sa longueur.
Chez les animaux, les liens entre une mère et son petit sont extrêmement forts.
Le décès de son bébé peut alors plonger la mère dans une profonde détresse.
Ainsi, en 2018, les images de Tahlequah avaient fait le tour du monde. Cette orque avait refusé d’abandonner son bébé mort, le poussant et le maintenant à la surface pendant 17 jours, sur près de 1 600 km, le long des côtes du nord des Etats-Unis et du Canada.
Les scientifiques expliquaient qu’il est probable que ces mammifères marins traversent une période de deuil, mais la durée pendant laquelle Tahlequah avait pleuré son petit disparu était exceptionnelle.
C’est un nouvel exemple tragique de ce lien parent-enfant qui a été immortalisé par des guides safari en Namibie.
On y découvre une femelle éléphant porter à l’aide de sa trompe son bébé décédé. Celui-ci, âgé d’à peine une semaine, est mort à cause de la sécheresse qui a tari les rivières.
Alors que les jeunes éléphants d’Afrique du troupeau sont en train de jouer, de nombreux adultes encadrent silencieusement la mère, tandis que celle-ci dépose le corps sans vie de son petit au pied d’un acacia.
Les guides safari à l’origine des images ont déclaré au Corriere della Sera qu’ils n’avaient jamais vu d’éléphants effectuer une cérémonie funéraire auparavant.
Les pachydermes sont connus pour observer des rituels funéraires.
Ils se rassemblent ainsi en silence autour des restes de leurs semblables durant de longues périodes, déposant des feuilles et des branchages, les touchant avec leur trompe ou leurs pieds, et retournant visiter les ossements au fil des ans.
(Source : Géo)
J’ai même appris qu’il existait des cimetières d’éléphants, là ou ces mastodontes rassemblent leurs morts. La plupart du temps sentant leur fin proche, ils s’y rendent d’eux mêmes, accompagnés du troupeau.
Néanmoins on se rend compte, une maman qu’elle soit « à deux pates ou quatre » reste un maman, la douleur est immense pour la perte d’un enfant, alors qu’on vienne pas me dire que les « animaux » ne ressentent rien, car dans l’absolu, ils ont bien plus d’humanité que certains humains. Sur ce je vous souhaite à toutes & tous, un excellent mercredi remplit de choses positives. Prenez-soin de vous et des personnes qui vous entoure.
Les images posées sur cet article ne sont pas ma propriété, ni celles du site.
Paola