Elle s’appelle Calixte Beyala. En effet c’est cette écrivaine française, d’origine camerounaise ou devrais-je dire qu’elle a la double nationalité, double nationalité interdite par les lois du kmer, qui prévoient qu’en cas de double nationalité établie, et bien vous perdez la nationalité Camerounaise.
Mais c’est pas l’objet de cette sortie à son sujet.
Cela dit, l’objet de cette sortie est de savoir comment quelqu’un qui écrit peut s’établir sous d’autres cieux alors que son pays d’origine traverse des attaques terroristes dans trois de ses régions, et généralement comme ailleurs, les écrivains prennent des positions lorsqu’il s’agit de défendre leur patrie.
Aussi je voudrais savoir la position de cette dame à propos des attaques terroristes dans trois régions de son pays d’origine. Encore qu’elle a souvent pris des positions politiques. L’on se souvient d’elle qui soutenait Laurent Gbagbo quand celui ci se faisait remplacer en 2011.
Au delà de ça , il faut dire qu’en l’observant l’on peut conclure que l’écriture ne nourrit pas son homme au sud Sahara, au regard de ses nombreux ouvrages malgré lesquels, son pays d’origine n’est pas à son sixième salon du livre, alors qu’il y a des noms comme elle dans ce domaine au kmer !
Maintenant, si l’on part du fait que quand on a réussi dans un domaine, il nous revient en toute logique le droit de montrer le chemin aux autres, et bien ce chemin serait-il celui de s’exiler et aller écrire depuis le pays de Voltaire et Molière, même si de temps à autre venir en Afrique s’immiscer dans l’arrestation de Paul Tchouta qui peut-être apprenait encore à écrire, afin d’imiter la sœur aînée qui a réussi dans ce domaine chez les bakala, sauf que c’était sans compter sur le fait que la sœur aînée en question n’allait pas le louper.
Non du tout elle mît tous les moyens en jeu pour mettre derrière les barreaux un jeune qui apprenait juste à écrire comme elle même si le style de ce jeune frère est discutable mais bon. La véritable question est celle de savoir en quoi le monument de l’écriture Beyala aide-t-elle l’écriture et même la lecture au kmer, car beaucoup de ses jeunes compatriotes semblent être fascinés par les armes, la rébellion, l’incivisme, le foutoir, le bensikine, le call-box !
Une preuve que la lecture et l’écriture sont assez détestées ici dans son pays d’origine.
Pourtant il se sait que des esprits qui aiment à lire et à écrire sont loin de l’oisiveté, car oui il n’y a pas plus grand, il n’y a pas meilleur exutoire pour l’esprit que la lecture et l’écriture.
Si donc cette écrivaine française avait fait la promotion de l’écriture, même tous tous les six mois dans son pays d’origine, nulle doute que jeunesse n’aurait pas des tendances suicidaires et tribaliste ici, ou alors les jeunes devraient faire comme elle, à savoir s’exiler, puis quand la nostalgie du bled arrivera, et bien revenir au bercail se ressourcer s’imposera…☝🏿
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Kap