Bonjour à toutes & tous, si aujourd’hui je pose cet article c’est parce que comme vous le savez sur ce site, nous luttons toujours contre les injustices et la corruption qui règne un peu partout dans les pays du monde….
Ici l’affaire se passe au Cameroun et elle dure déjà depuis des lunes sans que personne ne puisse ou ne veuille arriver à un accord, surtout une personne malhonnête qui veut s’approprier des biens qui ne sont pas à elle.
C’est une GRANDE ARNAQUE FONCIÈRE dont sont victimes plusieurs propriétaires de la région de Douala, qui avaient pris possession des terres par le Décrêt 390 de l’indexation coloniale, qui invitait les autochtones d’utiliser les dits-terrains situés en bord de route de la nationale 01, Axe Douala / Yaoundé dans les année 1940/1950.
Les documents attestent leurs utilisations et la mise en valeur de ces terrains là et un acte d’opposition avait été signé pour un droit de superficie à chaque utilisateur du dit terrain et ce en vue d’apporter de la stabilité au pays !
Malheureusement pour les propriétaires et on ne sait pas trop pourquoi, une femme demeurant à plus de 8 kms de l’endroit désigné Mme Ndjoh Claire s’est mis en tête d’avoir la totalité du terrain. Voici donc les faits :
Article signé par : Famille MBAMBA (Mr MBAMBA est chef de ce village de 1957 à 2014). TITRE : Litige foncier à Douala-( Cameroun) PK17
Cause : Irrégularités dans le contenu du titre foncier N° 26420
Ravisseur/Détourneur : Mme NJOH Claire
Victime : Familles MBAMBA et YEMB (Après opposition, les revendications ont été prises en compte, et il a été accordé à la Famille MBAMBA un droit de superficie de 46 ha).
Devant la mauvaise fois de Mme NDJOH Claire, le Procureur de la République avait demandé en son temps à Mr le Préfet que la justice fasse le nécessaire afin de régler ce litige, d’autant plus qu’une personne indélicate surement payée par Mme Ndjoh a usurpé l’identité de Mr Mbamba en se faisant passer pour lui !
Même le Ministre avait pris en compte les plans du cadastre du terrain de 506 ha sur Douala qui lui avait été fournit par le Préfet !
Nous dénonçons ici les malversations pouvant entraîner des soulèvements (guerres) entre les familles. (les populations sont au bord au KO) Je précise que c’est Mr Mbamba qui a été chef de ce village à PK17 de 1957 à 1994 et des membres de sa famille qui sont co-proprétaires de ce terrain d’après le Décret 390 de l’indexation coloniale.
Pourtant les instances chargées de ce dossier avaient demandé l’arrêt de toutes formes de transactions jusqu’à résolution effective de ce litige. Mais Dame NJOH Claire continue de faire comme bon lui semble. Aujourd’hui Mme NJOH Claire se permet de créer des désagréments de toutes natures tels :
Troubles à l’ordre public
Déguerpissage des autochtones
Destructions des mises en valeur (champs)
Dilapidage du patrimoine familial
Humiliation, maltraitance, psychoses des villageois, etc
Jusqu’à quand resterons-nous muets face à ces comportements horribles ?
Jusqu’où Mme NJOH va t’elle mener les populations avant que des autorités compétentes n’agissent, d’autant plus que Monsieur MBAMBA est menacé régulièrement ainsi que sa famille ! On en arrive à se demander si même le Ministre en question ne reçoit pas des pots de vin ce qui serait donc une habitude dans ce pays qu’est le Cameroun !
- Devant tous les frais engagés, Monsieur MBAMBA n’a plus les moyens de se nourrir ou de se soigner correctement à cause des problèmes créés par cette femme !
Actuellement, les propriétaires ne peuvent même pas aller sur leurs propres terrains sans que tout ne soit saccagé par des personnes corruptibles et malveillantes sans que les autorités interviennent et mettent cette Mme NJOH Claire hors d’état de nuire !
Et surtout cette vingtaine de propriétaires attendent que l’administration ré-ajuste et corrige les levées du cadastre puisque ces dernières ne sont pas les mêmes que celles que le Ministre avait eu en main propre !
Peut-on comprendre que tout le monde est corruptible en Cameroun, que cela se passe du haut en bas de l’échelle ? Là est la question !!!
De notre correspondant BOYOGUENO Samuel à Douala au Cameroun