Burkina Faso – Le calvaire des déplacés


Belem Boureima, agriculteur septuagénaire, a dû quitter son village avec sa famille de 43 personnes, comme 300.000 déplacés qui ont fui les violences djihadistes dans le nord et l’est du Burkina Faso.
 » On n’a plus rien mais mieux vaut être vivant ici que de rester à Djibo et mourir « .

C’est avec un fatalisme non déguisé que s’exprime Monsieur Belem qui ne croit plus en l’avenir de son pays. Il ne croit plus non plus au retour de la paix ! Beaucoup sont comme lui comme vous allez pouvoir le voir dans la vidéo ci-dessous ! Ils sont beaucoup à ne plus croire en rien, ils attendent et survivent juste ! Paola




A propos Paola

Mon pseudo "Kaki Sainte Anne" Ecrivaine, mais je suis Béatrice Vasseur et je signe tous mes articles ici sous le nom de "Paola" mon second prénom
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