Etant donné que certaines personnes ne lisent pas l’anglais, j’ai mis après le texte, la version française de l’article.
Man rapes his 14-year-old adopted daughter
Report say, Kota Bidô’ô, 35 year old, is reported to have raped his 14-year-old adopted daughter. According to report, this despicable act occurred recently in Ebolowa.
Kota’s wife Salome Abeng, mother of the adopted girl in question, demands a divorce in the presence of his majesty Odim Sessole, of Ebolowa, notables and a curious crowd who demanded to bury him alive.
14 year old Lauren Nkô’ô revealed that her adoptive father, has had sex with her since she was nine year old.
L’homme viole sa fille adoptive de 14 ans
Le rapport dit, Kota Bidô’ô, 35 ans, est rapporté pour avoir violé sa fille adoptive de 14 ans. Selon le rapport, cet acte(loi) méprisable est arrivé récemment dans Ebolowa.
La femme de Kota Salome Abeng, la mère de la fille adoptée en question, exige d’un divorce en présence de sa majesté Odim Sessole, d’Ebolowa, des notables et une foule curieuse qui a exigé de l’enterrer vivant.
Lauren Nkô de 14 ans a révélé que son père adoptif, a fait l’amour avec elle puisque(depuis que) elle avait neuf ans.
Personnellement je n’arrive pas à comprendre cet acte ignoble, mais la législation camerounaise a tout prévu. Dans le code pénal, la loi n’accorde aucune concession aux auteurs de viol. Pire encore, si cette infraction est cumulée à l’inceste.
Dans l’article 296 du code pénal relatif au viol, la loi punit tout acte sexuel avec une personne (homme ou femme) sans son consentement avec des violences physiques/et/ou morales.
Constaté, le délit est sanctionné d’une peine allant de 5 à 10 ans de prison.
En plus, la victime devra obtenir réparation. Il est certes impossible de quantifier les dommages d’un viol, mais, un montant symbolique sera versé à la victime en signe de dédommagement. Le montant sera alors fixé par la victime et c’est le juge qui, après avoir apprécié la somme, l’évaluera à sa juste valeur selon la gravité du cas et selon la notion de justice équitable en vigueur au Cameroun.
Sans doute, tout a été fait dans l’optique de protéger la jeunesse qui est la principale victime de viol. La loi, pour ce qui est de la relation sexuelle, ne tient pas compte, si oui ou non, il y a eu consentement de l’enfant (moins de 21 ans). L’acte sexuel entre un adulte et un enfant à lui seul est illégal et est sévèrement réprimé vis à vis de l’adulte, considéré comme seul coupable et responsable.
Même s’il reste impossible de déterminer exactement la durée de la procédure juridique, la plainte doit être déposée dans un délai de trois ans après le délit.
Cet homme doit être jugé et puni comme la loi l’exige et ce n’est pas par la vindicte populaire qui doit être juge et parti, car si une personne commet de tels actes, seule la justice avec un châtiment exemplaire peut dissuader d’autres malades de tomber dans de tels bassesses et non comptant d’être jugé par les humains, la justice de Dieu elle sera implacable ! Kap