Monseigneur Benoît Balla a laissé dans sa voiture un message quelque peu sibyllin qui fait que nous nous sommes penchés dessus afin d’expliquer ce que voulait dire ce mot ! De tous temps et partout dans le monde, surtout dans les corporations religieuses un code était déterminé pour avertir les gens d’un problème important sans que les néophytes puissent comprendre le sens du message !
De plus des détails importants nous font pencher beaucoup plus pour l’hypothèse d’un assassinat plutôt qu’un suicide, malgré ce que veux nous faire croire le rapport d’expertise rendu ces jours ci par la police d’Interpool ! Nous avons donc analysé tous ces détails pour vous !
1 – Le message : « Je suis dans l’eau » est parfaitement compréhensible pour toutes les personnes qui connaissent « Da Vinci Code. »….
Le symbole de la noyade et de la perte de tout, la vie y compris, semble être une explication toute trouvée pour l’image que cette expression véhicule.
On peut aussi facilement imaginer que le fait de laisser tomber à l’eau, au-dessus, un objet indispensable pour effectuer complètement une tâche peut nuire quelque peu à sa bonne exécution.
Mais l’explication, pour une fois, paraît un peu trop simple.
Chronologiquement, vers le XVIIIe siècle, on trouve d’abord tomber dans le lac dont on imagine très bien qu’elle a pu se tranformer en « tomber dans l’eau » au XIXe, expression qui a précédé celle du jour avant de devenir notre tomber à l’eau si familier à ceux qui ont la poisse.
Mais le lac est-il vraiment un lac, à savoir une « grande nappe naturelle d’eau à l’intérieur des terres », comme nous le dit le Grand Robert ?
Eh bien non, probablement pas !
À cette époque, ‘lacs’ se prononçait ‘la’.
En effet, au XIIe siècle, un ‘lacs’ désignait un nœud coulant destiné à capturer le gibier ou certains animaux nuisibles (‘lacs’ et ‘lacet’ ayant la même étymologie), et « tomber dans le lacs », c’était littéralement « tomber dans le piège », puis figurément, mais beaucoup plus tard, « tomber dans l’embarras / dans la misère ». Dans les hautes sphères de la chrétienté ce langage est courant et usité régulièrement…
2 – Un homme qui sait se vêtir qu’il soit un prélat ou un quindam quelconque ne mettrait pas ses chaussures à « pieds tors » c’est à dire que le soulier droit était à gauche et vice versa… Une erreur pareille n’est pas logique sauf si c’est fait dans l’urgence ou que quelqu’un l’a fait pour vous !!!!
3 – De plus dans le rapport d’Interpool (ce dont nous doutons) il n’est plus mentionné les blessures que Monseigneur Balla avaient au niveau des parties génitales et qui ressemblaient à des brûlures… Le premier rapport de la police scientifique était très clair. De plus ces blessures faisaient penser à de la torture…. Technique employée lors de la dernière guerre par les allemands ou la gestapo !! Cette technique qui consistait à mouiller les parties des gens ( doigts, orteils, parties génitales, seins pour les femmes) et d’y envoyer le courant électrique… Torture effroyable cela va s’en dire….dans le but de faire avouer quelque chose !!
4 – Dans le premier rapport, il était écrit que Monseigneur portait également de nombreuses contusions sur tout le corps…. Mais encore une fois, le courant de l’eau du fleuve n’était pas assez fort pour le blesser de cette façon…
5 – Le soit disant rapport d’Interpool mentionne que Monseigneur Balla s’est je cite » probablement noyé » Alors il faudra donc que ces Messieurs d’Interpool explique comment quelqu’un qui se noie n’a pas d’eau dans les poumons,,, Mention qui était portée sur le premier rapport de la police scientifique camerounaise…
Tout est bien trop trouble dans cette malheureuse affaire et nous sur le site, nous penchons sans pratiquement de doute pour l’assassinat… Pourquoi ? Que savait-il qui ne devait pas se savoir ? Je précise que les secrets des grands qui fréquentent assidument l’Eglise passent de bouche en bouche au sein de la communauté des prélats et même monte jusqu’au Vatican… Quel scandale à t’on voulu cacher ? Là est la question …. Paola..