Un homme intègre qui en savait beaucoup trop…. Certains ont supputés, fait des plaisanteries grivoises, ou même méchantes, tout le monde à dit qu’il s’était suicidé, mais personne n’a éventuellement pensé à un assassinat !!!! Et pourtant…… Le corps de Mgr Jean-Marie Benoît Balla, évêque de Bafia, a été repêché jeudi 1er juin à 7 km du pont du fleuve Sanaga à environ 80 km de Yaoundé, la capitale du Cameroun. L’évêque avait disparu dans la nuit du 30 au 31 mai. Sa voiture aurait été retrouvée avec un message déposé sur la banquette arrière : « Je suis dans l’eau. »
Quand on a lu Da Vinci Code, on comprend très vite la signification de » « JE SUIS DANS L’EAU ? ». Lisez plutôt:
On pourrait faire un parallèle direct avec la noyade mais il faut aller plus en profondeur pour en saisir le véritable sens. Au XVIIIe siècle, on trouve d’abord « tomber dans le lac » qui est devenu plus tard « tomber dans l’eau ». Mais le lac ici n’est pas une « grande nappe naturelle d’eau à l’intérieur des terres » comme on pourrait d’emblée l’imaginer.
Au XIIe siècle en effet, un « lacs » désignait un nœud coulant destiné à capturer le gibier ou certains animaux nuisibles (c’est de là que vient le mot « lacet »), et « tomber dans le lacs » signifiait donc pour l’animal « tomber dans le piège ». Nous avons dit plus haut que « tomber dans le lac » est devenu au XVIIIe siècle « tomber dans l’eau ». Eh bien, pour un homme cultivé, « JE SUIS DANS L’EAU » pourrait signifier « JE SUIS TOMBÉ DANS UN PIÈGE ».
Les investigations de la police chargé de l’enquête, n’avaient décelé aucunes traces de sang dans sa voiture, mais des faits nouveaux sont apparus. Premièrement, dans un suicide par noyade, le noyé en général a de l’eau dans les poumons, hors lui n’en avait, pas ce qui laisse supposer qu’il ne s’est pas noyé ! De plus à sa sortie de l’eau on peut remarquer que ces sandales sont mises « à pied tort » ce qui veut dire que le pied gauche est mis à la place du pied droit et vice et versa !
Ensuite à l’autopsie, le médecin légiste a pu constater, que cet homme avait des lésions sur le corps, les jambes et les parties génitales en particulier!!! – Bras gauche de Mgr Jean-Marie Benoit BALA casé, la Jambe droite brisé, Organe génitaux mutilé, c’est un bien étrange suicide n’est-ce pas ?? Autre fait tout aussi étrange, moins de trois semaines avant cette disparition tragique, l’un de ses proches collaborateurs, un prêtre, avait été retrouvé mort dans sa chambre au diocèse de Bafia, mais les raisons de ce décès n’ont pas été élucidées. Plusieurs religieux ont été assassinés par le passé au Cameroun, sans que les résultats des enquêtes ne soient rendus publics.
On sait très bien que ces hommes d’églises sont assassinés soit par les sbires du Vatican parce qu’ils en savent trop, soit pour des raisons politiques parce que là encore ils en savaient trop ! On espère juste que la justice camerounaise fera pour une fois son travail sans se laisser manipuler par le gouvernement ou le Vatican ! La mort d’un homme surtout par assassinat est une cruauté sans nom !
N’oublions pas une chose non plus, que c’est au moment de la mort de Jeanne Irène Biya que se marque le début des assassinats de religieux ! La réalité est que la Première dame avait été abattue par balles. Le jour de sa mort, elle avait reçu les religieuses qui furent toutes retrouvées mortes dans leur congrégation à DJOUM. L’Abbé AMOUGOU qui avait célébré la messe des obsèques fut retrouvé mort. Une missionnaire de l’église catholique qui avait lavé le corps de la dépouille de Jeanne Irène BIYA fut abattue. Père Engelbert MVENG, son confident, fut assassiné. Le médecin légiste qui avait constaté le genre de mort fut éliminé. Le cercueil de la Première dame qui devait pourtant être ouvert pour la messe de requiem, fut scellé. Le capitaine Roger MOTAZE, aide de camp du chef de l’État, à qui Jeanne Irène BIYA avait confié d’organiser sa fuite du CAMEROUN, fut tué dans un accident de voiture….. Alors à qui profitent tous ces crimes ? Paola
